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Le poète insoumis
poèmes de Gilles St-Onge
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À propos
Le départ des outardes
À Françoise
Expiation
Le legs
Confession Païenne
Brumes d’hiver
Le courage
Vieillir
Rapatriement
Un homme à la mer
Comme en vacances
Aurais-tu oublié ?
Les cerisiers sont noirs
À toi…
Les fleurs nouvelles
Fouilles en soi
À chacun ses hivers
Fausse joie
Aimer c’est haïr
Passage à vide
Ses yeux
Le bon moment
L’exil
Le bruit du silence
Septembre
Rester fidèle
Printemps tardif
Nostalgie
Soirs de pluie
Le pont
Pour te parler de mon pays
Voyage
Illusions
Nuit d’été
Viens !
Plein la gueule
Mon Dieu
La mort en douce
Le temps la mer les femmes
Variation sur les clichés et les rimes faciles
Le vieux corbeau
Cap Diamant
La corde à rime
Le Carnaval
Être poète en ce pays
La peine
Faire la révolution
Constat
Vengeance
L’amour blanc
Le paradoxe
Ce poème que tu ne liras pas
Un autre soir d’hiver
Révélation
L’hiver en ville
En queue de peloton
Le boulet
Lâcher prise
Jardin secret
Blanche neige
Le bien, le bon, le beau
La résignation du poète
Elle (s)
Salaud !
Revenir des enfers
3 novembre (Encore)
La retraite du Lion
Rêve d’enfant
Pas de deux
Maux de vocabulaire
L’exode
Au Purgatoire
Les mots
Rivage
Le suicide
Réveil
Shadia
Le sablier
Ce pays qui m’habite
La roue
Nuit blanche
Contre-chant
Debout !
Nuit blanche
À personne
La flamme
Mais moi
Dans la ville animée
Fatalité
Les sucres
Désertion
L’été en ville
Pourquoi écrire
Vie d’chien
Quelle question
Grisaille
Courage
Vague à l’âme
Il était une foi
Prière à Aphrodite
Révolution
Regret
Désertion
Élégie pour l’utopie
Jugement
Jour et nuit
Chasse à courre
Espoirs et remords
Je cherche
La gourmandise
Convalescence
En démanché
À mes maîtresses
Tu te trompais
Mensonge
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Le legs
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Le courage
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Fausse joie
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